Jean-Claude fait des crises de type absence et tonico-cloniques depuis l’âge de 10 ans. Tout au long de sa vie professionnelle, il a appréhendé de parler de sa maladie, de peur d’être incompris ou, plus grave encore, de perdre son travail. Il évoque la difficulté de communiquer sur son épilepsie, les sentiments de honte et de solitude qui l’ont accompagné et la libération qu’a représentée pour lui la psychothérapie. Il dit : « J’ai beaucoup travaillé avec un psychothérapeute qui m’a fait beaucoup de bien. Qui m’a en fin de compte libéré. J’ai retrouvé l’estime de soi. »